Bourg sur Gironde – Etape 2 de Mon Tour de France des escales

👋 Rencontre à quai

Deuxième escale de mon Tour de France des Escales : Bourg-sur-Gironde, perchée sur les hauteurs de la Dordogne.
Dès mon arrivée, j’ai rencontré Stéphanie Lemaître, directrice de l’Office de Tourisme.
On a échangé sur l’accueil des croisiéristes, la gestion des pontons et les projets autour du fluvial.
Ce que j’aime dans ces rencontres, c’est de voir concrètement le travail mené sur le terrain : ici, tout est réfléchi, organisé et tourné vers la qualité d’accueil.

🛥️ Une escale pensée pour le fluvial

À Bourg, on sent une vraie implication dans le développement du fluvial.
Chaque compagnie est attendue, chaque équipage accueilli avec attention.
L’Office de Tourisme met un point d’honneur à soigner le premier contact : informations pratiques, disponibilité de l’équipe, et même un petit cadeau de bienvenue offert aux croisiéristes.
Une belle manière de dire “Bienvenue à Bourg”.

🚶‍♀️ Du fleuve jusqu’à la ville haute

Comme à Cadillac, les visiteurs reçoivent un plan de découverte à leur arrivée.
Je suis partie du ponton, plan en main, pour remonter tranquillement vers la ville haute.
Le parcours se fait à travers les ruelles pavées, les escaliers et les portes anciennes.
Chaque recoin a son charme, et l’on croise autant de pierres chargées d’histoire que de sourires de passants.

Et puis vient le moment où la pente se calme et où l’on découvre, face à soi, un panorama incroyable sur la Dordogne.
Le fleuve, les toits du bourg, la lumière… tout s’y mêle.
C’est un endroit où on s’arrête naturellement, sans se presser, juste pour regarder.

💬 Une escale à taille humaine

Bourg, c’est une escale où l’on sent la passion du territoire.
Stéphanie et son équipe connaissent parfaitement les compagnies, les équipages et leurs besoins.
Ici, on ne fait pas les choses à moitié : on prend le temps, on échange, on ajuste.
C’est ce qui rend l’escale agréable, fluide et surtout humaine.

Une étape qui combine accueil, authenticité et cadre exceptionnel.
Et pour moi, c’est exactement ce qui fait le charme du fluvial : des lieux vrais, et des gens investis.